
dans la monadologie (1714) de liebniz, le temps, l’espace et la matière sont des perceptions confuses inventées par l’homme et ne représenteraient donc pas la réalité telle qu’elle est.
liebniz invente le concept de « petites perceptions » qu’ils désignent comme la matière première de nos synthèses qui nous permet de composer pour nous même ce qu’est un jet d’eau à partir des milliards de gouttes d’eau qui le composent. il invente l’expression du « détail sans borne » et du « je ne sais quoi » qui enveloppe tout ce qui nous entoure jusqu’à l’infini.